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Souvent confondus avec les enceintes intelligentes, les assistants vocaux sont plutôt des ressources logicielles permettant de traiter des requêtes formulées verbalement. Siri d’Apple, Alexa d’Amazon et l’Assistant de Google sont trois des assistants vocaux les plus répandus qui sont intégrés dans une variété d’objets : haut-parleurs, montres, télévisions, réfrigérateurs et plus encore. Tour d’horizon de leur utilité au quotidien.

Un peu d’histoire

La présence des assistants vocaux au quotidien est assez récente. C’est en 2011 que le premier assistant vocal mis à la disposition du grand public a vu le jour sur iOS avec Siri. Ont ensuite suivi Alexa (Amazon) en 2014, Cortana (Microsoft) en 2015 et l’Assistant Google (Google) en 2016.

La facilitation des petits gestes

Les assistants vocaux sont principalement utilisés pour faciliter les petits gestes du quotidien, comme de consulter la météo, l’actualité ou encore pour la recherche d’une réponse précise à une question selon les données rapportées par les enquêtes réalisées par l’Académie de la transformation numérique (ATN) au Québec et la Commission Nationale Informatique et Liberté (CNIL) en France.

De plus, la compatibilité des appareils intelligents domestiques avec les assistants vocaux permet de leur envoyer des commandes vocales pour simplifier l’exécution de tâches tout en ayant les mains libres. On peut ainsi demander à Alexa d’ajuster la température de consigne d’un thermostat ou de tamiser les lumières.

Au Québec, environ 30 % des adultes québécois possèdent des enceintes intelligentes. Parmi les utilisateurs, près de la moitié d’entre eux les utilisent pour demander la température extérieure (49 %), 40 % les utilisent pour consulter l’actualité et 23 % pour contrôler d’autres appareils intelligents.

Pourcentage des adultes québécois utilisant des enceintes intelligentes

Au Québec, environ 30 % des adultes québécois possèdent des enceintes intelligentes. Parmi les utilisateurs, près de la moitié d’entre eux les utilisent pour demander la température extérieure (49 %), 40 % les utilisent pour consulter l’actualité et 23 % pour contrôler d’autres appareils intelligents.

Sauf exception, les appareils Sinopé Zigbee et Wi-Fi sont compatibles avec les assistants vocaux Alexa et l’Assistant Google par l’entremise de la passerelle GT130 et de l’application Neviweb.

Les thermostats Wi-Fi Sinopé sont quant à eux également compatibles avec l’assistant vocal Siri par l’entremise d’Apple Home, application à laquelle ces appareils peuvent être intégrés.

Ainsi, vous pouvez interagir avec vos appareils intelligents Sinopé et leur attribuer une variété de consignes selon l’assistant vocal utilisé.

Vous pouvez par exemple demander « Dis Siri, monte le chauffage », « Alexa, règle la luminosité de la salle à manger à 60 % » ou encore « Ok Google, ouvre la valve ».

Notre astuce pour l’exécution efficace des consignes vocales par vos assistants?

Sélectionnez des noms d’appareils et de pièces différents et dont la prononciation est simple ou facile à saisir de la part de votre ressource logicielle, qu’il s’agisse de Siri, Alexa ou de l’Assistant Google.

Votre assistant semble buter sur une commande?

C’est peut-être parce qu’il a de la difficulté à interpréter un mot ou une expression. Tentez alors d’autres noms pour vos pièces et appareils.

Ressources additionnelles :

Enfin, l’utilisation des assistants vocaux peut être une façon plus simple et efficace de contrôler une variété d’appareils intelligents de marques différentes et normalement contrôlées dans des applications ou interfaces de gestion différentes.

Fonctionnement des assistants vocaux

Déployé au sein d’un appareil (montre, téléphone, enceinte), l’assistant vocal est en veille. Concrètement, il est en permanence à l’écoute. Pour cela, une mémoire tampon locale de quelques secondes est utilisée. Toutefois, il ne conserve pas les données audio et ne procède à aucune opération tant qu’un mot-clé spécifique, comme « Dis Siri », « Alexa » ou « Ok Google », n’a pas été entendu.

Lorsque le mot-clé réveille l’appareil, le canal d’écoute de l’appareil est ouvert et les informations vocales sont dès lors enregistrées, transmises et interprétées (intention) en vue de fournir la réponse à la question posée. Une fois la réponse transmise, l’appareil se remet en veille.

Femme qui fait une demande vocale à son téléphone

Pour améliorer la confidentialité

Tel qu’indiqué par la CNIL, « une fois enregistrées, les interactions sont susceptibles d’être écoutées par des personnes, salariés ou prestataires de la société fournissant l’assistant vocal, en vue d’améliorer les différents algorithmes mis en œuvre.»

Pour améliorer la confidentialité des échanges, vous pouvez opter pour des dispositifs équipés d’un bouton physique vous permettant de désactiver le microphone de l’appareil lorsqu’il n’est pas utilisé. Vous pouvez également choisir des appareils qui effectuent un traitement de l’information localement plutôt qu’à distance.

Il existe en outre de nombreux autres gestes qui peuvent être adoptés pour mieux encadrer l’usage des assistants vocaux.

La conclusion

Les assistants vocaux présentent un avantage certain puisqu’ils nous permettent d’obtenir des informations ou d’envoyer des commandes aux autres appareils intelligents du domicile tout simplement en formulant une demande verbale. On peut ainsi faire plus tout en ayant les mains libres! Choisir d’utiliser un assistant vocal n’est toutefois pas anodin et certains gestes peuvent aider à améliorer le maintien de la vie privée.

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